vendredi 16 décembre 2011

Mourir pour une gazelle, c'est fou?




  Mourir pour une gazelle, c'est  fou?


Billet fou ! Mourir pour une gazelle
Maintenant que « Romenia » est une héroïne de ma vie, je vous parlerai en ses lieux et places comme si la vie était seulement un amusement de jeux d’annonces sans menaces et sans oracles d’aucune sorte, mais avec des regards de magies venus d’organes de visions pimentés de marihua­na et de margarine, juste pour ne pas garder un goût amer dans la  bouche. Ma venue dans le combat périlleux d’un organe de diffusion me marginalise et me protège de moi-même sans même réaliser combien le mot amitié a une longue portée.
Ma charia est en quelque sorte ma joute et ma rageuse omerta contre les mortelles orties du net. En revanche, mes organes de diffusion sont les vaisseaux sanguins voraces et ordinaires de mon mépris pour le grand étalage des artefacts de Élisabeth Taylor. Dans le monde de ma condition, autant de richesses sont autant d’insultes pour les petits mondes qui sont en train de crever de faim.
Mais dans les graines de sauvagerie du 19ème siècle, rien ne me donne au­tant de mauvaise conscience que cette image de caractère ordonnateur de colonisateur organisateur de classification d’insectes migrateurs vagissants, et régalant le monde occidental de menus plaisirs frelatés. Rare­ment le mot Occident a été aussi avili, dépravé par les Européens de la meilleure société.
Ma véritable identité se réfugie chez Les Bishnoïs.
Mon union avec ma réalisatrice me dit que mon côté nature est un rêve de première née sur la terre de mes ancêtres les Singes, ceux qui ne portent plus depuis longtemps que des cravates, des maroquins en cuir, des médailles de marioles de la République, d’ordres marinés dans l’urine à en perdre toute dignité, à engraisser comme les rois de la cor­ruption dans leurs vêtements flottants, tous ceux qui ne diront jamais

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