Pour rien au monde je n'aurai voulu zapper le brillantissime passage de Jean Luc Mélanchon ce samedi 28 janvier chez Ruquier.
Le pari de Jean Luc Mélanchon, ça vaut le coup.
Je paraphrase sa note « Les oies du Capitol » : que de fortes « statements, » je ne suis pas sure qu ' il apprécierait ce terme anglais, mais c'est le premier qui me vient à
l 'esprit, et réflexion faite il est plus réaliste de dire :quelle malabar de déclaration de la part de cet homme dont
l 'engagement ne souffre pas d'ombres , pas de clair -obscur chez lui. Ce n 'est pas un homme pressé, c 'en est un qui percute vite et sec .
J'en connais deux qui en ont pris plein les babines :Pulvar la pauvresse vocabularante . « Camille, c'est comme un bleu de Miro … »« et comment on fait ».et Poloni la massue qui ratisse large; mais cette fois ce bas bleu et son doigt en l'air, jouérent le rôle du bouchon qui pète , qui garde un sourire de satisfaction figé quand toute la salle se tord de rires .Il a bien fallu opiner du bonnet pendant le restant de la salve de super-novas à jets continus de ce diable d' homme .
Imaginer que les consultants du Front de Gauche marinent dans la mollasse ambiance des agneaux serait un crime de lèse-oratoire du maitre de l 'art du savoir traverser les tempêtes en menant le navire vent-debout.
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