Je ferme les yeux, je crois que je pense.
Je prends la pause.Je fais comme si .
C’est là que je me sens la plus vide, comme ces statuaires en marbre qui me rendent si mal à l‘aise, avec leurs yeux bien dessinés, leurs corps rigides, leur attitude figée.
Dans cette incommodité , où suis-je exactement?
Pendant que la Mère Michel pleure sur son chat , que Rodin se déchaîne, en faisant de Camille son otage, je ne trouve plus la porte de sortie,je frappe à la porte d e mon âme, je me pince, je me lève et je crie : « prends moi dans tes bras , fais quelque chose, parle moi ».
Madame la penseuse a déjà eu un coup de bambou sur la cabessa ,la voie lactée est semée d e constellations ,
l‘Or du Rhin,
l’Or du Rien.
Un peu de ciel en poudre.
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