Le Monde est le même et le monde est tombé dans la main de financiers géants qui montent la garde à tombeau ouvert entre deux murs de protection :le mortel mécanisme du mondial vent de la nomination des menus de la table ronde des magnats vaniteux et monstrueux de la marine à voile du dix huitième siècle venus d’Amsterdam sans autre souci de mener à bien leur monnaie et un vol de gerfauts .
Mon ami F. Nietzsche dans sa marche vers la détresse des moribonds mariés aux muses de la maladie des vierges folles ne serait jamais arrivé au bout de son histoire des vertus et des vices de la manie des hommes à montrer le monde dans sa face la plus violente s’ il n’avait vécu voracement et vulgairement comme homme et comme chaman des bois.
Génie ou venin de génie?
Nous ne le saurons jamais , ainsi est le monde de l’art des mots. Mais chaos ou pas, nous ne perdons rien à être les partisans de la Manhatanerie du Verrazzano du 21e siècle menant le monde en peine et en joie .
Donnant à chaque marasme son nom et sa carte d’ identité, je donnerai à chaque face de la planète sa face de route de la soie sa face de mort de la vie, sa face de vie avant la vie, et enfin sa face de marche des maladies qui viendront en partie issues de vomitif du mal. Car notre planète a été peuplée de mainates juste pour parler haut et fort de nomades manipulés par des haut- parleurs mauvais et inhumains.
Donc en étant ni amie ni ennemie de la société
Je vis en roue libre sans donner de leçon et sans en recevoir.
Mais entre deux vues de la place Tian anmen en 1989 et 1949, rien ne m’a été épargné et rien n’a été malmené comme le droit de la vie des uns et des autres.
Ma donnée du monde a donc été maladie d’amour, gardes rouges et hordes de la mort, murs d’artistes et murs d’ écrivains, romances et partitions de musique ,montagne et plaine, violence et agilité à être paisible, aide et non -aide, monde et monde, art et non- art et ,enfin homme et contrefaçon de l’ homme .
Donc , à ma grande compréhension, rien ne vaut une symphonie de Rachmaninov, la deuxième pour être plus précise , où à chaque audition, je sors de la réalité, de ma réalité et j’en reviens heureuse, prête à revivre une fois encore quelques secondes de plus avec un sourire qui recouvre tout mon corps car aux éclats de rire , je choisis les éclats de vie .
En cas de nécessité absolue , nous menons un grand combat comme les oiseaux de la partie la plus bleue du ciel unissant et la moitié de la vie et la moitié de la mort à être oiseau et pas oiseau dans le même temps.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire