Ta mère : une femme indéfendable
Je viens de perdre mon grand garçon: pas un mot, pas une lettre , pas un mouvement .
Je pleurais alors , elle : « Mettez un mouchoir dessus » ………………………………..
La suite logique fut une relation à face pseudo parentale d’un mauvais trompe-l’œil d’ une famille de conventions comme à l’ opéra, mais sans génie, sans odeur , sans saveur , le bandeau de la morgue des imbéciles sur la tête .
J’avais lâché par bravade que mon grand père Caggini avait fondé la première loge des franc-maçons à Oran, là où on apprend aux hommes ni la monnaie de singe ni à faire la révérence à la suédoise , ni à laisser à son fils adoré - pas toi, l’autre - une montagne de dettes dans la légèreté d’ une vie passée à faire comme si .
A final destroy-touch bouffonne sous le masque de la maison bourgeoise, au cas où je ne l’aurai pas remarqué, mais où la mère porte le nom de la mère qui porte le nom de la mère qui a fini par harponner celui qui , celui que …..
Logique sans faille !
Et bien sur , on a voté Sarko.
On défend la tradition des familles « grandes »
Comme si
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