jeudi 5 juillet 2012


Ta mère : une femme indéfendable




Je viens de perdre  mon grand  garçon: pas  un mot, pas une lettre , pas un mouvement .
Je pleurais alors , elle  : «  Mettez un  mouchoir  dessus » ………………………………..
La suite logique  fut une relation  à face  pseudo parentale d’un mauvais trompe-l’œil d’ une famille de conventions comme à l’ opéra,  mais sans génie, sans odeur , sans saveur , le bandeau de la morgue  des imbéciles sur la tête .
J’avais lâché par bravade  que  mon grand père Caggini avait  fondé la première loge des franc-maçons à Oran, là où on apprend aux  hommes ni la monnaie de singe ni à faire la révérence à la suédoise , ni à laisser à son fils adoré - pas  toi, l’autre  - une montagne de dettes  dans la légèreté d’ une vie passée à faire  comme  si .
A final  destroy-touch  bouffonne  sous le masque de la maison bourgeoise, au cas où  je ne l’aurai pas  remarqué, mais où la mère porte le nom  de la mère qui  porte le nom de la mère  qui a fini  par harponner  celui qui , celui  que …..
Logique sans faille  ! 
Et bien  sur , on a voté Sarko.
On défend la tradition des  familles  « grandes » 
Comme  si 

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