Oran
….Juillet 1962.
Berlin
, Jéricho….. les murs s’écroulent .
Les
hommes, les trompettes et le reste les ont achevés.
Perdus dans les
airs de la renommée les inégalités du monde terrestre
meurent des que le peintre radieusement, les purifie de sa
lumière.
Leur
barrière de vie, se dissout dans le marasme des petits univers
inégalitaires de rêve, dans la ruée des portions d’images de
pacotille nées des incongrus sans poésie qui sont venus les
décrocher.
Les
« murs » ont mille et un yeux de pureté qui dégagent
la
matière de la pesanteur , de l’extraction de la pierre pendant
la construction des visions du peintre, comme les paroles
silencieuses qui diffusent plusieurs paroles , les unes sacrées
, les autres chargées des rêves rendus opaques par des nuées
de mouches de la détresse en dépit parfois de la couleur de la
roche .
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