jeudi 14 avril 2016

Les Murs .... Oran ...Berlin ...Jéricho .. dans le désordre .



Oran ….Juillet 1962.

Berlin , Jéricho….. les murs s’écroulent .
Les hommes, les trompettes et le reste les ont achevés.
Perdus dans les airs de la renommée les inégalités du monde terrestre meurent des que le peintre radieusement, les purifie de sa lumière.


Leur barrière de vie, se dissout dans le marasme des petits univers inégalitaires de rêve, dans la ruée des portions d’images de pacotille nées des incongrus sans poésie qui sont venus les décrocher.

Les « murs » ont mille et un yeux de pureté qui dégagent
la matière de la pesanteur , de l’extraction de la pierre pendant la construction des visions du peintre, comme les paroles silencieuses qui diffusent plusieurs paroles , les unes sacrées , les autres chargées des rêves rendus opaques par des nuées de mouches de la détresse en dépit parfois de la couleur de la roche .







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