Épris de justice et
éperdu de redondance.
Un négatif Reflet d’ un
Temps pendu à la branche d’ un gibet de la musique islamo-
gauchiste me fit ce 13 Février 2016 le grand honneur d’ un léger
vent de pestilence .
Non seulement je fus
sanctionnée de conspiration extrémiste avec la droite la plus
médiatiquement connue pour ses penchants émasculant les hommes de
nature à être des moustiques et des pucerons , mais mieux encore ma
« belle plume » gicla en mille éclats .
Puisant une jouissance
pénitentielle à rendre malade de jalousie mes ennemis repentant de
m’étendre dans le lit de la justice, un « caouet »
(« caouet »est un mot perdu des enfants
d’ Oran qui signifie celui qui dénonce un copain , celui que l ‘
on met en quarantaine parce qu ‘ il a tout lâché les taulards
disent une balance )de plume historique et l ‘épouse de
ce bédouin brillant de toutes les facettes de tous les pouvoirs de
toutes les républiques me donnèrent les plus médiatiques
bénédictions que leur courrier aient pu les engager à distribuer .
Mon agent à la Havane me
fit part d’un courrier héritant de toutes les ordures du vent de
la méchanceté .Mais les engluements de mes réducteurs de lumière
ne purent me ravaler à la mesure de la petite littérature amidonnée
du bédouin des historiens qui me cita plusieurs fois sans hésiter
à rendre hommage à des momies démonétisées protégées par le
maître de la secte d’ un pseudo Retardataire de la Révolution
Française . Il jouissait d’ un nom commun à celui des douze
tribus de mon pays d’ élection mais rarement je fus aussi malmenée
par les amnésiques de sa catégorie car non seulement il me
dé-publia mais le marécage dans lesquels il se fourvoya en
moisissant perdit tout son sens en reprenant à son compte les
mémoires enterrées des épurateurs de la révolution de 1789.
Mon obole à ce type de
patriotisme enclin à être médiocre littérature est réduite à
trois muets petits singes pris en défaut d’ humanité : 1 le
benêt , 2 le benêt, 3 le benêt .
Dans ce poridge perdant la nationalité anglaise ,
restent les détritus d’ une population qui tue et qui égorge.
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