jeudi 21 juillet 2016

Épris de justice et éperdu de redondance.

Épris de justice et éperdu de redondance.




Un négatif Reflet d’ un Temps pendu à la branche d’ un gibet de la musique islamo- gauchiste me fit ce 13 Février 2016 le grand honneur d’ un léger vent de pestilence .
Non seulement je fus sanctionnée de conspiration extrémiste avec la droite la plus médiatiquement connue pour ses penchants émasculant les hommes de nature à être des moustiques et des pucerons , mais mieux encore ma « belle plume » gicla en mille éclats .
Puisant une jouissance pénitentielle à rendre malade de jalousie mes ennemis repentant de m’étendre dans le lit de la justice, un « caouet » (« caouet »est un mot perdu des enfants d’ Oran qui signifie celui qui dénonce un copain , celui que l ‘ on met en quarantaine parce qu ‘ il a tout lâché les taulards disent une balance )de plume historique et l ‘épouse de ce bédouin brillant de toutes les facettes de tous les pouvoirs de toutes les républiques me donnèrent les plus médiatiques bénédictions que leur courrier aient pu les engager à distribuer .
Mon agent à la Havane me fit part d’un courrier héritant de toutes les ordures du vent de la méchanceté .Mais les engluements de mes réducteurs de lumière ne purent me ravaler à la mesure de la petite littérature amidonnée du bédouin des historiens qui me cita plusieurs fois sans hésiter à rendre hommage à des momies démonétisées protégées par le maître de la secte d’ un pseudo Retardataire de la Révolution Française . Il jouissait d’ un nom commun à celui des douze tribus de mon pays d’ élection mais rarement je fus aussi malmenée par les amnésiques de sa catégorie car non seulement il me dé-publia mais le marécage dans lesquels il se fourvoya en moisissant perdit tout son sens en reprenant à son compte les mémoires enterrées des épurateurs de la révolution de 1789.
Mon obole à ce type de patriotisme enclin à être médiocre littérature est réduite à trois muets petits singes pris en défaut d’ humanité : 1 le benêt , 2 le benêt, 3 le benêt .
Dans ce poridge perdant la nationalité anglaise , restent les détritus d’ une population qui tue et qui égorge.
Après Écrit par Luce Caggini le 13 février 2016. dans La une, Ecrits





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