http://www.modia.org/priere/meditation.html#resume
". La méditation juive peut se résumer dans le parcours suivant lors de la pratique"
1. une attitude globale de “l’ensemble de la personne”.
2. une attitude définie comme “l’écoute” (Chémâ Israël). Lien ici sur ce qu'est l'écoute juive.
3. une écoute “recevant tout l’ensemble de la réalité” depuis la Création et le Créateur et ne réduisant pas la réalité à telle ou telle dimension partielle, soi-disant nommée objective ou scientifique.
4. l’attitude de se retirer de la multiplicité apparente pour se relier à la seule “source” essentielle créatrice de la vie et avec laquelle nous sommes constamment en contact.
5. cette relation n’est pas une performance personnelle comme le ferait un sportif mesurant ses progrès de son moi, mais c’est une réception de la "seule perfection” qui est celle du Créateur et qu’il a bien voulu communiquer dès les premiers mots de la Torah. Cela est précisé clairement dans l’introduction de Chaâré qédoucha de R. ‘Haim Vital. C’est pour cela que nos textes parlent de la ânava (humilité) comme la qualité suprême et unique.
6. saisir ce lien direct comme “une présence et une présence relationnelle”. C’est pour cela qu’elle ne peut pas être enseignée à deux personnes simultanément (Traité ‘Haguiga du Talmud 2,1 et 11b).
7. ce cycle ne se réalise pas seulement dans des phases d’entrainement immobile dans le silence, mais il tend à devenir une dynamique de regard de tout l’être en toute relation et événement dans la réalité. Nous en développerons ci-dessous toute une pédagogie pratique.
8. ce cycle se caractérise comme la vie par une alternance (comme les vagues de mer, du coeur ou de la respiration, ou du jour et de la nuit, ou des saisons) qui fait que cet état se perd constamment et doit se reconstruire constamment, motif pour lequel les psaumes nous décrivent cette alternance constante chez le Roi David. Lire ici notre étude approfondie sur la respiration juive.
". La méditation juive peut se résumer dans le parcours suivant lors de la pratique"
1. une attitude globale de “l’ensemble de la personne”.
2. une attitude définie comme “l’écoute” (Chémâ Israël). Lien ici sur ce qu'est l'écoute juive.
3. une écoute “recevant tout l’ensemble de la réalité” depuis la Création et le Créateur et ne réduisant pas la réalité à telle ou telle dimension partielle, soi-disant nommée objective ou scientifique.
4. l’attitude de se retirer de la multiplicité apparente pour se relier à la seule “source” essentielle créatrice de la vie et avec laquelle nous sommes constamment en contact.
5. cette relation n’est pas une performance personnelle comme le ferait un sportif mesurant ses progrès de son moi, mais c’est une réception de la "seule perfection” qui est celle du Créateur et qu’il a bien voulu communiquer dès les premiers mots de la Torah. Cela est précisé clairement dans l’introduction de Chaâré qédoucha de R. ‘Haim Vital. C’est pour cela que nos textes parlent de la ânava (humilité) comme la qualité suprême et unique.
6. saisir ce lien direct comme “une présence et une présence relationnelle”. C’est pour cela qu’elle ne peut pas être enseignée à deux personnes simultanément (Traité ‘Haguiga du Talmud 2,1 et 11b).
7. ce cycle ne se réalise pas seulement dans des phases d’entrainement immobile dans le silence, mais il tend à devenir une dynamique de regard de tout l’être en toute relation et événement dans la réalité. Nous en développerons ci-dessous toute une pédagogie pratique.
8. ce cycle se caractérise comme la vie par une alternance (comme les vagues de mer, du coeur ou de la respiration, ou du jour et de la nuit, ou des saisons) qui fait que cet état se perd constamment et doit se reconstruire constamment, motif pour lequel les psaumes nous décrivent cette alternance constante chez le Roi David. Lire ici notre étude approfondie sur la respiration juive.
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