Un combat de pénombre et d’éclairs dans le ciel
de Damas
Même le ciel de Pondichéry en est estomaqué !
Pendant un moment du jour le ciel en a bavé .
Mais Bachar a eu le demi mariage le plus extravagant
du siècle avec la femme du monde la moins libertine de la planète.
Pendant que mon ami Paul de Tarse murmurait sans
cesse, Dieu dis-moi la vérité, dis-moi mon chemin pour aller te
rejoindre, il y avait déjà un commandant des Somaliens qui était
mondialement connu pour ses équipements de barbare à conduire ses
victimes en disant à Dieu : mon Dieu guide des agneaux vers mon
palais pour que je puisse les garder en sauce jusqu’au prochain
consistoire de mes amis les Juifs de Palestine.
Dans le ciel du Moyen-Orient un autre ami du roi des
jumeaux Vie et Mort imaginait une manière basée sur la
manipulation des nomades de la pensée visant et les moutons et les
agneaux sans distinction en leur promettant de leur offrir une
demi-chance pour les orienter vers une mue où ils deviendraient des
humains.
Moudre un monde dans un dé à coudre c’est
transformer un génie en poudre de riz et la saupoudrer à travers la
planète, c’est-à-dire le réduire à un grain de rire ou de
pleur.
Mais dans le domaine des rois et des dieux même un
jeu de mains est un jeu de mains donc un commencement de doute confus
du mourir et du vivre suinta entre le turban d’un boucher, et le
pelage blond d’une semeuse de merdes, deux amateurs sans autre
valeur que la voie du trompe l’œil.
Et ce qui va suivre juste pour voir l’effet que
ferait une autrichote d’occasion dans un pays où il y a tant à
faire et défaire.
Rien de commun autre que la parole pour l’une et
le tir des rues pour l’autre entre le sous-nommé Bachar et la
susnommée par quelques agitateurs de muscles sans courroies de
transmission, Madame la commissaire des Omeyades du quartier des
Abbesses de Paris.
Il y eut entre ces deux-là un amusant entretien
sous l’égide d’un angélique avocat Gagginiesque de la Cour des
Miracles, en plein centre d’une cour de prison là : un
chameau de manager de droite et un coupeur de têtes.
– LUI : Danse avec les loups, ma meneuse de
bétail, même en te mettant à quatre pattes, tu ne seras jamais
qu’une semeuse de fiente sans magnitude et sans pugnacité vu que
tu as dans tes gènes la une armada de moustiques dans l’amour du
sang.
– ELLE : Ami des marmelades de morts et de
comas du peuple de tes aïeux, pas un seul mot de ta bouche ne peut
être humain donc ne paraphrase pas le monarque du caravanier de
chameaux que tu es dans un pays de gazelles et de lamas vivant depuis
des mois dans Damas et ailleurs sans espoir à craindre le pire. Ton
amitié avec le boyard qui peut te mordre et te mener tout droit
sous un masque d’argile mortuaire d’une momie muselé par un
chien de faïence te pend au nez.
– Lui : Une armée de monstres équipés de
muscles en fer forgé te disent que à Damas, ni une agitatrice comme
toi ni un régiment de manigances de ton acabit ne valent un coup de
sifflet dans les rangs de la musique militaire du conseil des Nations
Désunies.
Dans ce court bouillon de nouilles dans l’art du
pouvoir d’un juste monarque ou de l’amour d’entendre la voix
d’un homme de sagesse bénévole sans la musique du dollar, Vie et
Mort ne sont que Rire et Pleurer dans un seul coup de sifflet.
Alors l’Ange se mit à pleurer et s’en alla vers
des cieux où le mot amour de la musique était le maître mot.
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