Accompagner ses bagages , un mode de transport à la portée de
tous , tous ceux qui m ‘agacent .
Faire ses adieux à la routine et se lancer à la tête des gens , je
préfère , sans conditions, sans longue- -vues , sans joint, sans certif
de nationalité .
Le top ? Se laver au savon et à l ‘eau de mer .
Je l ‘ai fait et j’en suis revenue riche ,intransportablement riche .
Mais , j’ai aussi parcouru un max de km un 4 juillet , pour aller
prendre un bain en partant de NYC et atterrir à Virginia Beach
après Norfolk: il y avait trop de monde , je ne supporte pas la
promiscuité !
Sans parler d’ un back and forth Nice -Santa Margherita Ligure
pour une coupe de cheveux à l ‘italienne.
Donc mener la grande vie en imaginant que mener la vie des
riches est un luxe de milliardaire est faux; venir en douce
depuis les mondes des pauvres vernis au tampon, rendus à la
réalité, chantant les vers d' Homère apportés par les vents du Sud,
pris dans la nasse de la grande mer des roueries de Sarkozy, c'est
un autre parcours ; Mais entre les deux tours de la marée basse,
un moulin de la fête foraine ménera la danse jusqu à la fin du
bal.
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