dimanche 3 juin 2012

On est pas couché. On n’en finit pas .On n’en BHL pas.







On  est pas couché, on jette  un œil, on  tombe  sur  BHL.
Curieuse  de savoir  comment les deux  savantes assistant   L. Ruquier vont s’en sortir.  S’ il  est facile de balancer du « moi je » à la tête  de  Bernard Henry Levy, encore  faut-il tenir debout  et ne  pas  se  contenter  de faire  des moulinets  avec ses mains , car  au jeu des moulinets  Mr  Levy est  maitre  dans l’art , et  ce fut une jeu  d’ enfants , car BHL  , est aussi  éloigné  des  chicaneries  parisiennes que les  deux  donzelles  des Amériques  de Christophe  Colomb. 
Certes  BHL  peut se permettre  de lancer « avec un Président de la  République  un peu  cinglé » ce n' est qu’ un  discours de philosophe  se  mettant lui  même  dans la position  de même niveau  de responsabilité . BHL  est  « omni »  comme NS .
C ‘est alors  que dans  le  feu , Audrey Pulvar lâche  « je  n’ai pas l’ intention d’être  au  gouvernement » ……God save  us !
Après les  quelques lignes moqueuses récentes  que j’ai lâchées  sur  BHL  dans  « Reflets du Temps » et sur  ce  blog , tandis  que je  regarde le philosophe  sur son fauteuil  col  de  chemise   ouvert  sur  son complet  noir  comme  si j’étais moi  même  à Misrata , momifiée  par la peur ,tandis  que  BHL nous dévoile  qu’  il n’a pas fait  son  service  militaire mais  que  après tout le grand reporter  qu’ il est  ne  démérite  pas moins  une palme d’ Or à Cannes que Michael Moore , je me pince  pour y croire .
L’agenda  de BHL est encore  ouvert sur  de belles  et douloureuses photos car  «  pour  faire  quelque  chose  de juste  , ce qui compte  c’est  la détermination »…mais  avec BHL c’est le don  du moratoire  qui  est le meilleur moteur de la manivelle dans  la vie d’ un  grand reporteur  de guerre .



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