Même dans mes rêves les plus fous, je n’aurai jamais eu la faramineuse idée de lui parler .
Mais un jour je fus invitée à descendre dans un hôtel dans le monde des fous de la ville de NYC.
Là , dans l’art de la plus haute musique , avec mon amie la marquise de La Bouraniere dont l’amitié ne me donnait aucun privilège sinon la vue de son balcon sur Park, je fis une unique expérience .
C’est donc de ce magnifique point de vue que je me jetais du monde des money-people dans le juncky monde des money-bankers. C’est ainsi que je marchandai le mot de people pour le mot de banker
.Avec mon envie d’être marquise sans avoir la moindre goutte de sang bleu je joignais l’ insolence à la naïveté des marins d’eau douce à l’art du monde des nomades du désert du Sahel. Mais quand je vis la hauteur des balcons , je fus prise d’ un vertige analogue à un crack boursier et je me mis à planer dans un méga rire, mettant Dieu et ses saints dans ma course à la même vitesse que mon adresse à me jeter dans la mer des intérêts mondiaux de Wall-Street.
Dans un élan de démence , je m’entendis dire ; « Ma chère madame nommée personne , ne donnez pas au ciel l’arme mondiale du nombril de la finance en laissant la marquise dans son joli pétrin, rien ne serait plus injuste ,car nous ne disposons que peu de compartiments dans nos coffre-forts et les places sont extrêmement chères.
Alors un son divin souffla dans mes oreilles et je fus sur le champ transportée sur un coussin de soie jusqu’ au ciel des banquiers de Wall-street avec un cordon rouge et or atour de ma romaine personne car dans mon étourderie, j’avais oublié de me faire naturaliser comme eurasienne avec un nom de marquise de gare de triage .
A mon grand étonnement, une étoile de bienvenue me prit par le cou et en deux coups de cuillère à pot, me fit pénétrer au paradis du vertige des banquiers de NYC.
Quel contraste émerveillé dans ce jeu de lumières argentées. Sur un sommet de pièces en demi lune, on me fit donner un chapeau de couleur verte en papier moiré avec des numéros de couleur or et argent et je mis avec un châle araméen en toile de jute avec une guenille sur mon corps .
Dans cet accoutrement , vue dans un miroir à la demande d’ un ange , je fus introduite devanr Dieu Lui-même .
Et devinez quoi?
M’ordonnant de m’armer de courage, Il me dit : « Tu viens de voir un monde nouveau dont tu es le maitre car tu es ton Dieu et tu ne le savais pas »…..
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