Rien de monumental comme le mot" maman" .
Mozart en dit en quelques notes la plus simple et la plus merveilleuse musique du cœur .
Rien de grandiose et rien de monotone dans ces variations, mais la nudité des mues mourant en petits cris, dans un rare montage de maçonnerie, sans gouvernail, sans boussole, être comme chez les Grecs à présenter un nouveau né au ciel , dans la main d’une magnifique pianiste , dans un art de nature juvénile du monde des âmes muni d’infinis miroirs regardant Wolfgang avec un douceur angélique .
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