A moins d’ être analphabète parmi les arabes du douar dans le fin fond de l’Algérie , mon aménité pour le gouvernement algérien est nulle et ma compréhension du malentendu des Algériens est magistralement anesthésiée par le manège des artistes qui sont au pouvoir à Alger .
Donc même si mon amitié pour Kateb Yacine est donnée pour vivante , allez, fervente, je donnerais cher pour pouvoir donner un amant des Vents de la Vérité à un pays sous l’emprise de sa carnassière vanité du pouvoir .
Mais en écoutant le magistral dicours de Said Sadi sur France Inter , ma compréhension des manifestations du printemps arabe des Algériens a dansé comme un feu follet sur la margelle d’un puits dans le Jardin d’Allah.
Mon agitation dans la coupable musique arabe de Bouteflica est à la hauteur des montagnes du Kilimandjaro animées de mes propres désirs de gouverner la terre de mes ancêtres .
Dans ce mandat dont je me fais la partie amante d’un soir via le chemin le plus long que jamais chef de gouvernement ait jamais emprunté , je demande à Allah de me faire la protectrice de choix d’ un verset
d’ un Coran à venir qui soit la bible des Lumières pour enlever à partir d’ aujourd’ huile le voile de
l’ obscurité à toutes les moudjahidas dans toutes les médinas de l’Algérie et même à celles du Maroc et de la Tunisie
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