Je venais de voir un documentaire sur la faune marine sur la Sept , éblouie par les zébrures scintillantes de certains individus des fonds des mers , la grâce dangereuse d’ anguilles au nom savant, d’étoiles vénéneuses et autres merveilles de la nature.
.Un voyage dans les profondeurs d’ une partie de la planète qu’il ne me sera jamais permis de visiter autrement qu’ à travers le petit écran,
Quelle idée saugrenue me traversa après cette évasion de rêve, qui me fit atterrir sur Cana Plus chez Denisot ? Je sombrais dans les abysses de la "médiocruté" gloussante des Massenet bises-bises et autres nullités bien pomponnées , des carangues de lune, ces poissons à l’aspect métallique que je venais de découvrir une minute plus tôt et qui donnent le frisson tant ils sont laids et argentés , des enthousiasmes -intox sous le regard patenôtre du pape dont je me demande bien par quel mystère il va toucher terre à Vanity Fair dont il se trouve que moi ,par hasard j’ai bien connu un chroniqueur à NYC dont le pauvre Denisot aurait eu quelques coups de rames sévères à donner pour suivre le flux de
sa pensée. Mais ça aussi c’est la France et malheureusement la France qui se dévoile sans aucune pudeur ni respect pour ceux qui dans les coulisses d’ un théâtre qui se passe ailleurs ne bénéficie d’ aucun des avantages d’ une mafia sans couilles .
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