Dans le ciel des « Quinze Août »nommer Marie c’est déjà mettre une couleur céleste dans le tableau de l’artiste ,mais amener le Murdjardjo , depuis la colline de Santa Cruz à Oran à NYC c’est le pari d’ une musique du cœur dans un monde de parois de verre et d’acier sous l’abondance d’ un dollar planétaire et la venue des navires de Chine ,l’avènement de l’art du Nouveau Monde et la nuée des Chinois venus chercher la manne américaine sur le voilier« Peking » depuis le siècle dernier .
À ma connaissance ,le prince des nomades du Désert de Gobi est animé de chinoiseries pour agiter dans le ciel de NYC chaque année un dragon harmonieux orné d’innombrables charmes dont je perçois les manifestations argentées s’agiter artistiquement de toutes les régions du Désert de l’Asie .Si j’entrouvre les paupières depuis ma chaise longue , c’est une cathédrale à ciel ouvert avec des vitraux grands comme des cathédrales elles mêmes qui montent aux cieux .
Dans le ciel des « Quinze Août » Marie a marginalisé le bleu et la mort de l’art de peindre les agneaux primés de médailles dans les patronages , exhibant ces doux animaux en les entourant de rubans bleus à la fête des santons d’ un magnifique conte de Noël .
Dans le ciel des « Quinze Août » comme dans les amours du charpentier et de la jeune juive de la Genèse,rien n’est jamais complètement humain et rien n’est complètement divin.
Donc je suis entièrement conduite à penser que là où je suis sur cette chaise longue dans le Sea-port de NYC, comme sur le sable des Andalouses , un ciel bleu ou un ciel bleu n’aura jamais la même couleur , car rien ne vaut la magie des amours du South de la Méditerranée quand on a seize ans et que la vie a déjà été dans un pays où le rêve s’est animé de tous le s commentaires d’ un ciel omniprésent nuit et jour dans le rêves d’ une jeune fille en quête d’ un absolu concert de joies .
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