Après tant d’ années , sachant ce qui se
passe aujourd hui dans l’ Algérie de Kamel Daoud, Dieu merci quand
nous avons pu échapper au juillet 1962 où une partie de ma
famille y était , je ne crois pas que libre dans mes écrits comme
je le suis, j ‘aurai pu vivre comme Boualem Sansal derrière les
fils barbelés d e mon balcon . D’autre part mon « algérianité »
ne me pose aucun problème pour dénoncer cet islam monstrueux et les
assassins qu ‘ il génère dont nous sommes entrain de subir leurs
funestes objectifs.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire