lundi 27 juin 2016

Que diraient les équations si elles pouvaient parler ?










Magnétisme des amalgames entre mon temps à Oran et l’ âge de la maturité , élans d’ amour et momification des sentiments ?
Réalité des rêves et monde des éveillés ?
Mélanger les brouillards de la Tamise avec money musique poésie et Omeyyades du Moyen âge ?
Penalty du présent mais élévation du passé dans le royaume de Mélusine avec punitions et scarifications publiques métastasées par voie médiatique ?

Je me frotte, tu te frottes, il se frotte , nous nous frottons : méditations de masses nulles mais matières transmutées .
Une expérience corporelle .
Un rêve quasi éveillé .
Spéculation métaphysique parachutée par images.
Les traduire ? À quelle vitesse ? On mélange les kilomètres, les marques de voitures, les unités de sons et de musique indienne ?
À mon rêve de peintre endormie, à un agneau doux succède un Deus ex machina me réduisant à un état de légende en ébullition.

Un vrai regard de panique  :

Jean Giraudoux
"Nous n'avons pas de vie. Qu'est ce que c'est 50 ou 80 ans sur terre. Mais chacun de nous peut exister, si il a son existence légendaire. L'homme ou la femme qui n'est pas légendaire, n'est rien. Le tout est de trouver sa légende ;
Bellac inspira plus tard à Giraudoux, une pièce en un acte précisément appelée : L'Apollon de Bellac. C'est le premier de nos personnages en quête d'auteurs.

« Jardin Zen ,nulle fleur, nul pas;où est l ‘ homme? Dans le transport des objets , dans la trace du râteau , dans le travail de l ‘Écriture » .
.Moi -Barthes un muet angoissé qui s' exprime par signes ??
-« Angoissé ? «  je ne sais pas mais mélancolique oui  » me répond A.Finkielkraut

Nommer c’est déjà poser une question mais poser une question c’est réduire les mots à des signes .
En signe de croix ou en signe d’espace musical, mes amants de papier mirent un point d’exclamation à mes réalités statufiées .


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