illustration Luce Caggini
Pas de très grandes avenues bordées d' arbres dans Oran. La lumière ardente tombe sur les trottoirs , les gens , les maisons ; une lumière qui prend sa source dans la Méditerranée qui vivait là, à nos pieds.
Cette mer me donnait le courage de mentir, me sauver de la maison , sans jamais dire où j ‘allais . Je m 'adonnais au soleil , je partais sans surveillance avec fringrance et deux ailes soyeuses.
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